Voici les deux réponses reçues à ce jour à notre courrier en date du 17 septembre :
L'une de la direction Intercités, les arguments sont inexistants et surtout totalement injustifiés.L'autre de SNCF Mobilités Auvergne Bourgogne-OuestCe qui est malheureux c'est que sur le terrain se sont les usagers qui subissent le bus, les scolaires, leurs parents et les directions des collèges.
A Langogne, Génolhac et La Grand'Combe ils ont été mis devant le fait accompli le premier vendredi de la circulation du bus. Ils n'ont jamais été prévenus !
A La Grand'Combe c'est en arrivant à la gare qu'ils ont découvert que leur train ne passerait pas, la vie scolaire a téléphoné mais on lui a répondu que ce serait comme ça jusqu'à Noël. Les élèves ont attendu le bus, mais il était plein en arrivant à La Grand' Combe, du coup ils ont pris le train suivant, soit une heure plus tard. Quid de leur correspondance et de l'attente des parents ?
Est-ce que les scolaires ne sont pas comptés dans la fréquentation du Cévenol ?